3. Mettez les verbes entre parenthèses au temps qui convient :
La parité Homme/femme
Le débat sur la parité hommes/femmes est relancé. L'égalité professionnelle entre hommes et femmes (ne pas être) obligatoirement synonyme de progrès social. Ainsi, même s'il (devoir) rester exceptionnel, le travail de nuit (être) désormais autorisé pour les femmes comme pour les hommes. Heureusement, la loi (prévoir) quelques dérogations. Ainsi, une "travailleuse de nuit" (pouvoir) être affectée à un poste de jour pour "obligation familiale impérieuse" comme la garde d'un enfant ou la prise en charge d'une personne dépendante. De même, les femmes enceintes ou venant d'accoucher (pouvoir) demander à être affectées à un poste de jour, à rémunération égale. Au chapitre de l'égalité professionnelle, les entreprises (se voir) obligées de négocier sur l'égalité professionnelle entre hommes et femmes à tous les niveaux,et notamment au niveau salarial, sous peine de sanctions pénales. La question (devoir) être évoquée à chaque négociation touchant les salaires ou le temps de travail. Ces dispositions, pour louables qu'elles (être), (ne pas faire) l'unanimité des spécialistes. Le principe d'égalité de rémunération entre hommes et femmes (ne pas être) nouveau, puisqu'il (figurer) déjà dans le code du travail depuis la loi Roudy de 1984(art. L 140-2). Principale amélioration : la loi Roudy (inviter) à négocier l'égalité professionnelle, la loi Génisson (contraindre) désormais à le faire. Enfin, la mise en pratique de la loi dans les entreprises (devoir) faire largement appel à la négociation collective. La confiance entre partenaires sociaux (être) encore faible et, pour commencer, il (ne pas être) sûr que les chefs d'entreprise (accepter) de dévoiler les rémunérations de chaque salarié aux syndicats.
La parité Homme/femme
Le débat sur la parité hommes/femmes est relancé. L'égalité professionnelle entre hommes et femmes (ne pas être) obligatoirement synonyme de progrès social. Ainsi, même s'il (devoir) rester exceptionnel, le travail de nuit (être) désormais autorisé pour les femmes comme pour les hommes. Heureusement, la loi (prévoir) quelques dérogations. Ainsi, une "travailleuse de nuit" (pouvoir) être affectée à un poste de jour pour "obligation familiale impérieuse" comme la garde d'un enfant ou la prise en charge d'une personne dépendante. De même, les femmes enceintes ou venant d'accoucher (pouvoir) demander à être affectées à un poste de jour, à rémunération égale. Au chapitre de l'égalité professionnelle, les entreprises (se voir) obligées de négocier sur l'égalité professionnelle entre hommes et femmes à tous les niveaux,et notamment au niveau salarial, sous peine de sanctions pénales. La question (devoir) être évoquée à chaque négociation touchant les salaires ou le temps de travail. Ces dispositions, pour louables qu'elles (être), (ne pas faire) l'unanimité des spécialistes. Le principe d'égalité de rémunération entre hommes et femmes (ne pas être) nouveau, puisqu'il (figurer) déjà dans le code du travail depuis la loi Roudy de 1984(art. L 140-2). Principale amélioration : la loi Roudy (inviter) à négocier l'égalité professionnelle, la loi Génisson (contraindre) désormais à le faire. Enfin, la mise en pratique de la loi dans les entreprises (devoir) faire largement appel à la négociation collective. La confiance entre partenaires sociaux (être) encore faible et, pour commencer, il (ne pas être) sûr que les chefs d'entreprise (accepter) de dévoiler les rémunérations de chaque salarié aux syndicats.